Un coin d’histoire industrielle rue Marc Bloch

Un coin d’histoire industrielle rue Marc Bloch

5 rue Marc Bloch, une vitrine éteinte sous une enseigne muette qui n’invite plus au voyage. Ces choses déjà ne sont plus rien. Frappées d’une décadence qui éloigne encore de notre intuition leur réalité, à  peine semblent-elles avoir été. Les affres d’un délabrement mémoriel  prolongé finissent de légitimer l’effacement définitif et matériel. Sans parvenir à accomplir le court chemin qui conduit de l’objet vers sa substance, que la saleté et l’oubli ont effacée, plutôt que témoins nous voilà convoqués en ville comme simples passants.

5 rue Marc Bloch angle Nord-Ouest
5 rue Marc Bloch angle Nord-Ouest

 

Après la libération le tronçon de la rue de l’université situé à l’Est de l’Avenue Jean Jaurès adoptait le nom du fondateur de l’école des annales et résistant, Marc Bloch. Qui se souvient qu’à cette date encore -on était au n°63 de la rue de l’université- des dizaines d’employés et d’ouvriers se pressaient vers leurs bureaux ?

Tachons de rapporter en quelques lignes l’image de la chose sensible et toujours visible à sa brève histoire.

Genèse urbaine

La question des origines urbaines et architecturales  n’oblige pas à remonter bien haut.  Résultat du prolongement de l’Avenue de saxe entre le Cours Gambetta et l’Avenue des ponts du midi (actuelle Avenue Berthelot), l’ilot et le quartier qu’il traverse étaient de formation récente. Porté à la rencontre  des nouvelles rues Dumoulin (actuelle rue Père Chevrier) et Bouchardy (actuelles rues de l’Université et Marc Bloch), ce prolongement dessinait le nouvel ilot délimité à l’Est par la rue d’Avignon (actuelle Élie Rochette). A cet exact emplacement son tracé traversait une portion des terrains appartenant à l’Hôtel Dieu : le domaine de Saint Lazare, et son ancienne maladrerie située plus à l’est en direction de la route de Vienne, dont le sol constituait la dépendance. A la frange la plus occidentale du tènement coulait un ruisseau, la Rize, depuis le Nord Est en direction du Rhône.

Plan de Prolongement de l'Avenue de Saxe en 1877 , Echangge de terrains entre les Hospices civils et la ville de Lyon- 321 wp 197 - AML
Plan de Prolongement de l’Avenue de Saxe en 1877 , Échange de terrains entre les Hospices civils et la ville de Lyon- 321 wp 197 – AML

Tièdement reçu en 1860 par les Hospices civils, qu’une division de leur territoire exempte de garantie compensatoire avait rendus prudents, le projet fut jugé immature et différé jusqu’en 1876[1]. Cette année seulement un accord convenu entre la Ville et les Hospices civils vit le jour. Il concluait l’échange de parcelles nécessaire à l’aménagement de l’Avenue au devant desdites terres, mais aussi celui des rues voisines précédemment citées.  L’ilot urbain prenait naissance et achevait en ce point de La Guillotière des siècles d’histoire rurale amassés derrière lui.

Entrainées par le processus de valorisation du quartier et la vénalité des terrains, les intérêts fonciers et spéculatifs ne pouvaient tarder à se manifester. C’est ainsi sans doute qu’il nous faut interpréter  la posture de Jean-Baptiste Claret, entrepreneur en transport et acquéreur sur la Compagnie des chemins de fer du PLM de la partie orientale et frontalière aux hospices en 1882.

Plan d'un terrain vendu par la Cie du PLM à Claret devant maitre Lombard Morel le 5 juillet 1882- 3 E 24687-ADR
Plan d’un terrain vendu par la Cie du PLM à Claret devant maitre Lombard Morel le 5 juillet 1882- 3 E 24687-ADR

Mais c’est à François Coquet, docteur en loi et surtout grand propriétaire terrien, que revint la tache de donner corps à un réel projet de lotissement urbain au sein de l’ilot. Entre 1884 et 1888, fort des moyens à sa disposition (achats et les échanges de parcelles), il acquit la totalité de la masse, composant avec les divers propriétaires : les Hospices qui détenaient la fameuse pointe nord-Ouest, Claret pour le reste, la municipalité enfin garante de la voirie et des alignements réglementaires. Tenus par la finalité d’un échange de terrain de superficie équivalente dans une masse voisine, les Hospices renoncèrent facilement à cette maigre et inutile portion de propriété recluse au sein de l’ilot. C’était par conséquent à l’échelle du quartier que le dessin morphologie du parcellaire  de l’ilot se jouait. Il devait être le fruit d’une longue concertation entre grands propriétaires terriens et convergeant vers de communs intérêts : la régularisation d’une masse en vue de l’augmentation de sa valeur de vente. Puisque la valorisation de l’espace du voisin était synonyme de plus-value pour son propre terrain, l’ilot se décomposa ou se recomposa en correspondance étroite avec ceux de l’espace avoisinant.

Plan d'un terrain situé à l'angle de la rue Dumoulin et de l'Av de Saxe vendu par les Hospices civils à Coquet le 30 sept 1884 par devant maitre Muguet -3e 17294 -ADR
Plan d’un terrain situé à l’angle de la rue Dumoulin et de l’Av de Saxe vendu par les Hospices civils à Coquet le 30 sept 1884 par devant maitre Muguet -3e 17294 -ADR

 

Plan d'un terrain vendu par François Coquet à Louise Loizeau épouse Montrochet en 1893 par devant maître Ferrez-3 E 16165 - ADR
Plan d’un terrain vendu par François Coquet à Louise Loizeau épouse Montrochet en 1893 par devant maître Ferrez-3 E 16165 – ADR

 

En attendant une réunification complète, qui s’opéra activement entre 1876 et 1888, l’ilot avait été loué par ses différents propriétaires. A ce titre il s’était couvert d’un agrégat de petites habitations. Nichées dans les vestiges de l’ancien parcellaire, leur caractère précaire et provisoire ne faisait aucun doute. Passé cette dernière étape l’ensemble sortit graduellement de cet état primitif : le parcellaire des terrains réunis et redessinés par Coquet s’ accordait désormais à l’axe du nouveau réseau viaire. Cet impérieux remaniement accompli, les ventes s’effectuèrent sous la conduite du propriétaire jusqu’à la dernière en 1892.

Vente d'un terrain communal situé Av de Saxe par la Ville à M Devaux en 1888 - 321 Wp 210 - AML
Vente d’un terrain communal situé Av de Saxe par la Ville à M Devaux en 1888 – 321 Wp 210 – AML

La proximité de la rue de l’Université et de l’avenue de Saxe prolongée offrait une situation avantageuse qui ne pouvait manquer d’attirer les grandes constructions bourgeoises. De prestigieux immeubles à loyers furent alignés le long de l’avenue et en retour sur les rues Dumoulin et Bouchardy. Mais sur la rue d’Avignon, placée parfaitement en retrait du grand front ouest uniforme, la situation restait tournée vers des formes d’occupation plus marginales. Dans une ville où l’industrie ne se trouvait ni en mal d’innovation ni en mal de développement sa vocation serait industrielle. Ayant précédemment cité Claret, ancien maître des lieux, il serait oiseux de négliger de signaler derrière le nom l’importante figure de l’industriel des transports et des aménagements publics[2]. Mais un second nom peut-être mériterait une remarque. A la jointure du XIXe siècle et du XXe siècle, les frères Elmer, apprêteurs et teinturiers, occupaient dans le parage des lônes plusieurs tènements nécessaires à leur industrie[3]. Là le sol était vraisemblablement aménagé à cet usage, divisé entre les espaces dont ils s’étaient rendus propriétaires rue Dumoulin et d’Avignon et ceux qu’ils occupaient en qualité de simples locataires angle des rues Bouchardy et d’Avignon, c’est-à-dire la parcelle dont le devenir nous intéresse plus spécifiquement.

L'ilot délimité par l'Avenue Jean Jaurès (ancienne Av de Saxe prolongée), les rues Dumoulin, d'Avignon et de l'Université en 1919- Plan de ville section 249 -4S249-03- AML
L’ilot délimité par l’Avenue Jean Jaurès (ancienne Av de Saxe prolongée), les rues Dumoulin, d’Avignon et de l’Université en 1919- Plan de ville section 249 -4S249-03- AML

Début 1920 Les frères Elmer n’exerçaient plus. Entre leur prise d’activité et son terme, ce séjour les avait préposés au rôle de témoins d’une évolution urbaine longue d’un quart de siècle. Dans le cours de la décennie ils libèrent les parcelles en leur possession au profit des derniers gros projets immobiliers rue d’Avignon ( n° 28) mais aussi de réalisations de moindre envergure au 34 bis rue Dumoulin[4]. Quant à la parcelle formant l’angle de la rue de l’université, anciennement Bouchardy, et d’Avignon, après sa vente elle demeure obstinément vide,  vide en tous les cas de constructions pérennes. Les consorts Montrochet et Loizeau qui en avaient fait l’acquisition sur  Coquet en 1893 procèdent à sa vente 30 années plus tard. L’acquéreur est un industriel répondant au nom d’Auguste Petit. A lui désormais et à lui seul de perpétuer une activité industrielle dans les lieux à la suite de prédécesseurs illustres.

Plan d'un terrain vendu par la veuve Loizeau-Montrochet à Petit par devant maître Ravier le 20 avril 1923 - 3e37653 Ravier - ADR
Plan d’un terrain vendu par la veuve Loizeau-Montrochet à j-B Petit par devant maître Ravier le 20 avril 1923 – 3e37653 Ravier – ADR

 

Les Ets Petit et Mottet

Le 20 avril 1923 la parcelle formant l’angle des rues de l’Université et d’Avignon est donc acquise par Jean-Baptiste Jules auguste Petit, entrepreneur et industriel, qui fait élever à cet emplacement un bâtiment industriel pour le compte de sa société de chauffage. L’homme, alors âgé de 47 ans n’en est pas à son coup d’essai en matière d’entreprise : il a déjà exploité une société de chauffage sous le nom collectif Petit & Cotin dès avant 1910[5] . Cette fois il se concilie l’aide d’un nouvel associé, Pierre Mottet, jeune homme de 23 ans son cadet, dans la création d’une nouvelle société commerciale et industrielle de même nature [6]. La société prend nom Petit & Mottet. Conçue en1925 pour prendre la suite des affaires menées précédemment par Jean-Baptiste Petit, elle en récupère les fonds, la clientèle et le capital. Petit amène par conséquent un héritage constitué du fonds, du crédit et de l’expérience dans une nouvelle affaire où Mottet doit intervenir en qualité plus spécifique de commercial et de comptable.

Tous les anciens bâtiments des frères Elmer sont abattus. Le terrain de 326 m2 (après élargissement de la rue de l’Université) est entièrement rebâti. Il comprend des ateliers d’entrepôts et de production industrielle bien identifiables avec leur toiture en sheds. C’est vers ces entrepôts que les anciens ateliers de Petit & Cottin situés jusqu’ici au n° 32 rue de la Quarantaine doivent migrer. Aux bâtiments industriels s’allient des bâtiments de bureaux et de logements. La réalisation des plans est confiée à l’architecte lyonnais Victor Bonnetin.

Plan au sol des ateliers Mottet & Petit en 1944 avant le transfert des activités à Villeurbanne- 994W419 - ADR
Plan au sol des ateliers Mottet & Petit en 1944 avant le transfert des activités à Villeurbanne- 994W419 – ADR

 

Un permis de construire pour ouverture d’une baie sur la rue de l’université postérieur de 10 ans permet en outre de s’assurer visuellement du plan d’élévation initiale de la façade sud :

Autorisation de percer une ouverture sur la rue de l'univesité, architecte villeneuve 4 octobre 1933- 344W1169- AML
Autorisation de percer une ouverture sur la rue de l’univesité, architecte villeneuve 4 octobre 1933- 344W1169- AML

L’ancien site d’activité de Petit du 7 de la rue Vaubecour est conservé pour le magasinage mais les deux patrons font le choix de transférer le siège jusqu’à la nouvelle adresse de travail. Dès les origines il semble que leurs établissements de ferblanterie et de fumisterie aient trouvé une spécialisation dans le secteur de la fabrication de matériel de chauffage à eau chaude et à vapeur, activités auxquelles s’ajoutent les grands fourneaux de cuisine, la petite et moyenne chaudronnerie et même la stérilisation pour les hôpitaux.

En tête industrielle d'une lettre, correspondance des Ets Petit & Mottet avec la préfecture, 1944 - 994W419 - ADR
En tête industrielle d’une lettre, correspondance des Ets Petit & Mottet avec la préfecture, 1944 – 994W419 – ADR

Après la seconde guerre mondiale  c’est sous l’égide d’un nouveau gérant, Alfred de Valence de Minardière, que l’établissement prend son nouveau départ. Un nouveau site offrant des possibilités industrielles adaptées est choisi[7]. Il se situe à Villeurbanne dans les anciennes teintureries, 89 rue Magenta, dans un local qui n’est pas neuf mais laisse une marge de manœuvre à une activité jugée préjudiciable au voisinage[8].

Plan de localisation des Ets Petit & Mottet, rue Maggenta à Villeurbanne en 1945- 994W419 - ADR
Plan de localisation des Ets Petit & Mottet, 89 rue Magenta à Villeurbanne en 1945- 994W419 – ADR

Dès avant cette époque l’établissement employait 110 personnes : 80 en ateliers et bureaux, 30 sur les chantiers. A ce titre il est permis de croire que les employés se soient sentis à l’étroit entre les murs de l’ancien site rue de l’Université. Quant à savoir à quelle destination se destinaient les murs au départ de l’entreprise… Tout indique qu’une activité en relation avec les savoirs faire de la tôlerie et de la plomberie  ait perduré puisque, longtemps après leur migration industrielle, on retrouve dans les lieux la présence d’un dénommé Mottet fils pour la plomberie (années 1970). Mais le bâtiment a pu accueillir d’autres formes d’activité, en continuité avec la tradition industrielle établie. C’est cette fois le secteur spécifique du bâtiment, entreprise de pavage et entreprise d’étanchéité et couverture, qui furent quitte l’une et l’autre pour un court séjour dans le lieu après le départ de Petit & Mottet.

 

Description des lieux

La façade sur la rue Marc bloch était destinée aux bureaux et au logement patronal. Elle comprend un étage sur un apparent entresol. 5 travées se succèdent sans symétrie d’ensemble, la travée jouxtant l’entrée étant occupée par une ouverture de garage plus large et surmontée de baies jumelées. L’entrée est déportée sur l’extrémité occidentale.

5 rue Marc Bloch façade sud
5 rue Marc Bloch façade sud

Éclairée par une imposte, elle semble avoir conservé sa menuiserie et sa serrurerie d’origine :

Entrée 5 rue Marc Bloch
Entrée 5 rue Marc Bloch

La façade Est, en retour sur la rue Élie Rochette fait l’alignement de la partie courte des bâtiments de logement avec celle longue des entrepôts et ateliers. Sur cette rue la rupture de lignes de toiture produit un effet fort pittoresque.

Façade rue Elie rochette Ets Petit & Mottet
Façade rue Élie Rochette Ets Petit & Mottet

L’ensemble est ponctué d’une décoration d’un goût Art déco très sobre : banquettes à enroulements et chambranles plats aux baies.

Les couvrements varient en fonction des espaces : sheds, toit traditionnel pour les logements et même toit terrasse.

5 rue marc Bloch toitures
5 rue marc Bloch toitures

Les bâtiments paraissent construits en mâchefer. A l’arrière des ateliers, les moellons de mâchefer forcent le contraste avec le bâtiment en pierres dorées dépendant de l’immeuble voisin datant de la fin du XIXe siècle.

Arrière des ateliers en direction du sud
Arrière des ateliers en direction du sud

 

La rue de l’Université a subi à date récente plusieurs démolitions. Toutes concernaient de petits édifices d’aspect industriel que la faible hauteur, sans commune mesure avec les standards régnant, condamnait irrémédiablement. On l’a observé ici également :  l’inscription de cette forme industrielle donnait lieu à des effets de forme et de hauteur en totale opposition avec l’environnement immédiat. Faut-il pour autant en conclure que ce genre d’édifice n’ait plus droit de cité ?

Vue direction sud Est vers la trouée occupée par la parcelle du 5 rue Marc Bloch
Vue direction sud Est vers la trouée occupée par la parcelle du 5 rue Marc Bloch, au premier plan les immeubles du coin de l’Avenue J Jaurès et E Rochette
5 rue marc Bloch angle Elie rochette
5 rue marc Bloch angle Élie Rochette

Égarées pour ainsi dire en milieu étranger, sa physionomie et sa hauteur atypiques l’esseulent mais créent la touche de diversité et d’ouverture attendues d’un paysage urbain vivant, une alternance aux interminables parois solides de la ville standardisée.

Toitures 5 rue marc bloch
Toitures 5 rue marc bloch

 

Le bâtiment de Petit & Mottet n’aura sans doute pas l’heur de fêter son centenaire. L’immeuble disparaitra prochainement au bénéfice d’un programme immobilier.

Détail rue Elie rochette, détails pentes et volumes
Détail rue Élie Rochette, détails pentes et volumes

[1] Ces mécanismes de vente des terrains des Hospices civils dont procède la figure de la rive gauche ont été parfaitement analysés par Anne Sophie Clémençon dans un ouvrage de référence : La Ville ordinaire. Généalogie d’une rive, Lyon, 1781-1914.

[2] Entrepreneur de la fin du XIXe siècle, il eut à traiter avec la Ville en maintes occasions : concessionnaire pour le tramway lors de l’exposition universelle de 1894 , auteur d’un projet par ailleurs avorté de réseau de tramways à l’échelle de la ville, concurrentiel à celui de l’OTL dans les années 1880.

[3] Ce sont les frères Elmer qui occupaient l’emplacement de l’ancien dépôt Parmentier, dans la rue du même nom, jusqu’à sa construction en 1912.

[4] Actuel n°34 rue Père Chevrier depuis démoli courant 2013

[5] Cette société avait ses bureaux rue Vaubecour et ses ateliers rue de la Quarantaine

[6]  A propos de la formation de la société Petit & Mottet, voir 6 up1 403 au 16 janvier 1925, aux ADR . Il est tentant du reste d’associer Pierre Mottet à d’autres figures éponymes de l’industrie de la tôlerie lyonnaise. Citons, sans liens avérés,  C Mottet fils, rue de Créqui au début du XXe siècle pour la manufacture de ferblanterie, zinguerie et cuivrerie, ainsi que Michel Mottet rue de Marseille, pour une manufacture de tôlerie noire et galvanisée, enfin Mottet Jean, fabricant en tôlerie, à semblable époque.

[7] Ce bâtiment, fort remarquable,  existe toujours.

[8] Travail des métaux à chaud et à froid avec emploi de forges, presses et appareils générateurs d’acétylène, voir 994W419, autorisation départementale aux ADR.

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